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Sortir de l’impersonnel en particulier pour ref léter
ce qui forge la singularité de chaque entreprise : ses
métiers, sa culture, sa philosophie, ses convictions.
Les bureaux sont en ce sens des sanctuaires de
patrimoine immatériel. Un “ supplément d’âme “, que
le philosophe Henri Bergson considère nécessaire à
la matière pour l’élever moralement, qui devra dans
les bureaux être l’incarnation esthétique des valeurs
éthiques qui rassemblent et animent les collaborateurs
de chaque entreprise. Être beau dedans pour que ça
se voit dehors, forcer l’alignement entre promesse
collaborateurs et promesse clients au travers des
espaces de travail, et, par le biais de ce sens décliné
sur les murs, assurer une performance durable.
“ L’éthique, c’est l’esthétique du dedans “, disait le
poète Pierre Reverdy. Et si l’esthétique n’était pas
autre chose que le dehors de l’éthique servant à
inspirer une manière de faire et d’être ?