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“L’énergie d’un côté, la douceur de l’autre ; voilà les

deux armes que je veux mettre dans les mains de la

République,” disait Victor Hugo.

Pour d’autres types de sociétés, les entreprises, il

s’agira donc de soin - dont on a parlé ci-avant -

et de vitalité. Pour cette dernière, les espaces de

travail en seront aussi les catalyseurs : conteurs

d’histoires entrepreneuriales, réceptacles des actions

et interactions collectives, ils seront - à l’ère de la

civilisation cocon et du marasme social - des pompes

à énergie. Les collaborateurs viendront y prendre

un shoot de boost, un concentré de sens partagé.

Les bureaux devront permettre aux collaborateurs

de mettre en perspective l’action quotidienne, de

chuchoter la direction et l’impulsion, de susciter l’envie.

Et ils devront être des bouillons de vie dans lesquels

on viendra puiser dans l’énergie collective.